Le " paysage désigne une partie de territoire telle que perçue par les populations, dont le caractère résulte de l'action de facteurs naturels et/ou humains et de leurs interrelations ". Cette définition de la convention européenne du paysage " tient compte de l'idée que les paysages évoluent dans le temps, sous l'effet des forces naturelles et de l'action des êtres humains. Elle souligne également l'idée que le paysage forme un tout dont les éléments naturels et culturels sont considérés simultanément ". Ces deux notions fondent notre approche du paysage et ce quelle que soit l'échelle d'intervention, de la parcelle au territoire.
Le paysage est issu d'une lente maturation qui demeure inscrite dans chaque site...
Le temps est abordé à travers une recherche fine de la mémoire des lieux, des traces du passé, de l'histoire du site... et un repérage des motifs paysagers (structures paysagères naturelles ou bâties particulières au site étudié ou élargi au territoire dans lequel il s'inscrit) qui participent aujourd'hui à son identité paysagère. Ces éléments guident nos projets.
Le paysage est en constante évolution ainsi nous approchons également cette notion de temporalité à travers une vision prospective du développement ou de l'aménagement, pour que le projet s'inscrive dans une certaine continuité historique, qu'il respecte voire renforce l'identité paysagère du site/territoire qui l'accueille.
Le paysage est un tout...
Notre approche est aussi globale, basée sur la compréhension du site/territoire, de son fonctionnement tant humain (usages, pratiques, production du paysage...) qu'écologique (continuités végétales, écologie du paysage, parcours de l'eau...). Cette double analyse, complétée des attentes des maîtres d'ouvrage, des usagers présents et futurs, des partenaires... permet d'inscrire chaque projet dans le paysage, de créer des liens entre le projet de développement/d'aménagement et le contexte qui l'environne... Le projet et son incidence paysagère sont chaque fois abordés en vues externes (la perception du projet depuis l'extérieur - paysage perçu : intégration et place qu'il occupe dans le grand paysage) et en vues internes (la perception du projet depuis l'intérieur - paysage vécu : les ambiances qu'il propose, les usages qu'il permet, les vues qu'il offre...).
Le paysage des uns n'est pas le paysage des autres...
Puisque le paysage diffère selon le vécu, la sensibilité, l'expérience, la profession... de l'observateur, nous attachons aussi une grande importance à la concertation, confrontation et croisement des regards, échanges et débats à la fois pour l'enrichissement, la co-construction et l'appropriation des projets.
Si notre approche puise dans la mémoire des lieux et la compréhension des paysages actuels, l'essence même des projets qui garantit leur accroche au site/territoire, il nous semble que la créativité et la contemporanéité, que nous plaçons au cœur des projets, permettent aussi l'inscription des projets dans " leur temps " et la construction qualitative des paysages de demain.
Le paysage est issu d'une lente maturation qui demeure inscrite dans chaque site...
Le temps est abordé à travers une recherche fine de la mémoire des lieux, des traces du passé, de l'histoire du site... et un repérage des motifs paysagers (structures paysagères naturelles ou bâties particulières au site étudié ou élargi au territoire dans lequel il s'inscrit) qui participent aujourd'hui à son identité paysagère. Ces éléments guident nos projets.
Le paysage est en constante évolution ainsi nous approchons également cette notion de temporalité à travers une vision prospective du développement ou de l'aménagement, pour que le projet s'inscrive dans une certaine continuité historique, qu'il respecte voire renforce l'identité paysagère du site/territoire qui l'accueille.
Le paysage est un tout...
Notre approche est aussi globale, basée sur la compréhension du site/territoire, de son fonctionnement tant humain (usages, pratiques, production du paysage...) qu'écologique (continuités végétales, écologie du paysage, parcours de l'eau...). Cette double analyse, complétée des attentes des maîtres d'ouvrage, des usagers présents et futurs, des partenaires... permet d'inscrire chaque projet dans le paysage, de créer des liens entre le projet de développement/d'aménagement et le contexte qui l'environne... Le projet et son incidence paysagère sont chaque fois abordés en vues externes (la perception du projet depuis l'extérieur - paysage perçu : intégration et place qu'il occupe dans le grand paysage) et en vues internes (la perception du projet depuis l'intérieur - paysage vécu : les ambiances qu'il propose, les usages qu'il permet, les vues qu'il offre...).
Le paysage des uns n'est pas le paysage des autres...
Puisque le paysage diffère selon le vécu, la sensibilité, l'expérience, la profession... de l'observateur, nous attachons aussi une grande importance à la concertation, confrontation et croisement des regards, échanges et débats à la fois pour l'enrichissement, la co-construction et l'appropriation des projets.
Si notre approche puise dans la mémoire des lieux et la compréhension des paysages actuels, l'essence même des projets qui garantit leur accroche au site/territoire, il nous semble que la créativité et la contemporanéité, que nous plaçons au cœur des projets, permettent aussi l'inscription des projets dans " leur temps " et la construction qualitative des paysages de demain.